Les Secrets Cachés pour Échapper à la Pauvreté : Ce Qu’ils Ne Vous Disent Pas

Marchez dans la rue en donnant un billet à cinq personnes qui en ont encore moins que vous. D’ailleurs, vous trouverez ces personnes très facilement, car la plupart des gens font face à ce problème : ils veulent une chose mais en obtiennent une autre, sans comprendre pourquoi. La raison est simple : la contradiction. Pour commencer, il y a les contradictions évidentes, comme par exemple vouloir perdre du poids mais se goinfrer à longueur de journée. Ces contradictions sont les plus faciles à corriger en suivant cinq étapes : être honnête avec soi-même, clarifier ses objectifs, identifier les contradictions, établir un plan d’action, et traquer ses progrès. Mais il y a d’autres contradictions, moins évidentes, à corriger.

Lorsque vous pensez à une chose mais en ressentez une autre, ou lorsque votre esprit va dans tous les sens, il est important de vous aligner. Pour vous aider à aligner vos différents centres de création, vous pouvez commencer par minimiser autant que possible la négation. Par exemple, lorsque vous dites « Je n’ai pas peur », cela signifie en réalité que vous commencez à ressentir de la peur. Lorsque vous dites « Je m’en fous de ça » ou « Je m’en fous de cette personne », cela signifie que vous y pensez et que vous ne vous en foutez pas tant que ça. Et bien sûr, le grand classique : lorsque vous dites « Je ne suis pas bourré », évidemment cela signifie que vous l’êtes. Pour éviter ce genre de contradiction, utilisez plutôt l’affirmation. Par exemple, dites « Je suis en totale confiance » plutôt que « Je n’ai pas peur ». Cependant, utiliser l’affirmation plutôt que la négation ne suffit pas, car la nature de la dualité fait que chaque pensée positive contient la graine de son opposé négatif. Autrement dit, lorsque vous affirmez quelque chose, l’opposé de cette même chose est naturellement proposé.

Par exemple, si vous dites « Je suis heureux », votre esprit va automatiquement penser à des moments où vous ne l’étiez pas, ou à des raisons pour lesquelles vous pourriez ne pas l’être. Il y a deux façons de limiter ce phénomène. Premièrement, utilisez des affirmations plus spécifiques et détaillées, qui minimisent la place laissée aux pensées contradictoires. Par exemple, « Je suis heureux d’être allé à la piscine aujourd’hui ». Deuxièmement, ralentissez votre flux de pensée par l’écriture. Cette méthode est très puissante pour focaliser votre attention sur une seule chose à la fois. Quand on est en train d’écrire, il est presque impossible que l’attention soit déviée vers autre chose. On ne peut pas écrire une chose et réfléchir à une autre. Alors, au lieu de penser à la vie que vous voulez avoir, écrivez-la.

Malheureusement, beaucoup de gens sous-estimeront la valeur de ce conseil. Certains pourraient dire « Mais il faut faire attention à cela ». Je dis : jetez la prudence au vent ! Que pouvez-vous perdre, si ce n’est tout ? Et tant que vous n’êtes pas prêt à tout perdre, vous ne pouvez pas tout avoir. Parce que vous pensez qu’il s’agit de garder ce que vous avez reçu, et ce à quoi vous vous accrochez vous glissera entre les doigts. Pourtant, ce que vous laissez partir vous reviendra multiplié. Car s’accrocher désespérément à quelque chose est la plus grande annonce que vous pensez être séparé de tout le monde. Vous voyez, je suis ici, et vous êtes là-bas, et j’ai ces choses, et je dois les garder. Mais laissez partir, et c’est la plus grande annonce qu’il est clair pour vous qu’il n’y a pas d’endroit où vous finissez et où je commence.

Donc, d’un point de vue très réel, quand je vous donne quelque chose, je me le rends à moi-même. Et d’ailleurs, quand vous voyez cette personne qui a moins, ne ressentez pas de pitié pour elle. Comprenez que vous l’avez mise là. Vous comprenez ? Sinon, vous verrez cette petite âme et commencerez à avoir de la pitié pour elle. N’agissez jamais depuis la pitié pour quiconque, agissez depuis la bienveillance, depuis l’amour. Mais comprenez bien que l’amour n’est pas la pitié. En fait, la pitié est vraiment très éloignée de l’amour. Alors, n’agissez pas depuis la pitié, mais depuis la compassion. La compassion dit dans votre esprit : « Ah, voici une personne qui pense qu’elle n’a pas ce qu’elle pourrait avoir dans la vie. Voici une personne qui est encore coincée dans un système de croyance qui a créé une illusion autour de sa réalité, différente de la mienne et différente de la vérité ultime. » Payez cette compassion, mais n’ayez jamais de pitié.

Et donc, vous marchez dans la rue et vous donnez vos cinq derniers dollars. Maintenant, que se passe-t-il là ? Que se passe-t-il ? Vous avez inversé le paradigme : pensée, parole, action. Vous faites maintenant ce que ferait la personne qui vit dans l’abondance, et vous commencez à donner ce qu’une heure avant cette décision, vous ne pouviez imaginer donner, parce que vous pensiez ne pas en avoir assez. Mais maintenant, vous êtes clair que vous en avez plus qu’assez, tellement plus que vous choisissez d’en donner aux autres. En donnant cela, vous créez dans votre corps, à un niveau d’énergie très rudimentaire, une expérience. Le corps remarque, au niveau cellulaire : « Oh mon dieu, je donne cet argent, regardez ça, je le laisse partir. » Je ne sais pas si jeter la prudence au vent est la meilleure chose à faire, mais jeter sans hésiter la peur au vent, donnez tout votre argent sans réfléchir à tous ceux qui vous entourent, ne vous rendra pas riche. C’est une loi spirituelle de recevoir pour soi ce que l’on donne aux autres, mais dans le monde physique, il y a des lois physiques, et si vous donnez tout votre argent, eh bien vous n’aurez tout simplement plus d’argent.

Ce qui est important avant tout, c’est de ne pas connecter de sentiments négatifs avec une chose que vous voulez, car le cerveau fonctionne par association. Si vous associez un sentiment négatif à quelque chose qui est en lien avec l’argent, pour votre bien, l’argent s’éloignera de vous. Mais donner reste particulièrement intéressant, car lorsque vous donnez, vous prouvez à votre subconscient que vous avez déjà, sinon vous ne seriez pas en mesure de donner. Et naturellement, les gens attirent à eux ce qu’ils possèdent déjà, pas ce qu’ils désirent. Les riches deviennent de plus en plus riches, et les pauvres deviennent de plus en plus pauvres, malgré leur désir de devenir riches. Et je pense que votre expérience personnelle devrait pouvoir confirmer cette idée. Vous retombez sur le même type de personne en amour, vous rencontrez le même genre de problème dans la vie, et vous faites face aux mêmes défis financiers. Autrement dit, vous attirez à vous plus de ce que vous avez et connaissez déjà.

Mais que se passerait-il si, malgré la récurrence de vos problèmes, vous décidiez de simplement réagir différemment, de rester positif et optimiste, de refuser que la situation extérieure vous impacte comme elle a l’habitude de le faire intérieurement ? Dans ce cas-là, que pensez-vous qu’il arrivera ? Eh bien, votre réalité extérieure s’équilibrera naturellement avec votre réalité intérieure, car en réalité, elles ne font qu’un. Chaque fois que la résistance apparaît quelque part dans ma réalité, je sais que juste au-delà de ça se cache une plus grande vérité. Et parce que je sais ça, j’accueille ce sentiment. Vous savez, ce sentiment d’inconfort. Voyez, la vie commence à l’extrémité de votre zone de confort. Donc, au moment où je commence à me sentir mal à l’aise, je me dis : « Oh, voilà ce sentiment d’inconfort à nouveau, yes, yes, j’en veux plus ! » Je trouve du confort dans mon inconfort. Quand je suis, euh, je ne sais pas, je n’en suis pas vraiment sûr, ça signifie que je suis absolument sûr. Cela signifie que la partie la plus élevée de moi-même me parle d’une manière qui vibre dans chaque cellule de mon corps.

Ce que j’appelais autrefois l’inconfort et que j’appelle maintenant un signal divin, foncez vers ça, pas loin de ça. Chaque fois que je me suis privé de l’expérience de ma propre grandeur, c’est parce que je me suis éloigné de mon inconfort au lieu d’y plonger, et je me suis coupé de ma source de joie. Pas de temps en temps, pas de temps à autre, à chaque fois. Compris ? Donc, faites ça partout où vous voyez quelque chose qui a du sens pour vous. Donnez, donnez, donnez de ce que vous avez à ce qui a du sens pour vous, et vous découvrirez que cela vous donne du sens à vous.

Car l’argent perd sa valeur dès que vous essayez de le garder. L’argent n’a de valeur que lorsque vous êtes prêt à le laisser partir. L’argent a sa plus grande valeur lorsqu’il quitte vos mains, parce qu’il vous permet d’être, de faire, et d’avoir ce que vous choisissez d’être, de faire et d’avoir. L’argent n’a de valeur que lorsqu’il quitte vos mains. Mais économisez de l’argent si vous le voulez. Moi, je n’économise pas grand-chose. Je préfère le faire circuler, le faire circuler, vous comprenez ? Et votre corps commencera à recevoir le message : « J’ai ce que je choisis de recevoir, je l’ai déjà. » Une fois que vous franchissez cette grande étape, car vous pensez que vous n’en avez pas, et vous essayez d’obtenir ce que vous n’avez pas, à savoir plus d’argent. Mais une fois que vous réalisez que vous en avez, alors ça devient juste une question de combien de zéros suivent le premier chiffre, vous comprenez ?

Et ainsi, vous découvrirez que ce qui part finit par revenir. Non pas parce que vous avez réalisé un véritable tour de magie avec l’univers, mais parce que vous avez finalement compris la vérité de qui vous êtes à un niveau cosmique universel. Et l’univers ne dit jamais non à la croyance que vous avez de vous-même, il ne fait que la renforcer. Avez-vous entendu ce que je viens de dire ? J’ai dit que l’univers ne dit jamais non à la croyance que vous avez de vous-même, il ne fait que la renforcer. Par conséquent, voici trois mots à se rappeler en tout temps : faites-les vous tatouer sur votre poignet gauche : « Soyez la Source. »

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Agissez depuis cette croyance qui dit : « Je suis la Source. » Si vous voulez plus de magie dans votre vie, apportez plus de magie dans la pièce avec vous. Si vous voulez plus d’amour dans votre vie, apportez plus d’amour dans la pièce avec vous. Soyez la Source dans la vie des autres de ce que vous voulez avoir dans votre propre vie. Si vous voulez plus d’argent dans votre vie, apportez plus d’argent dans la vie d’un autre. Quoi que ce soit que vous vouliez plus, si vous voulez plus de compassion dans votre vie, si vous voulez plus de sagesse dans votre vie, soyez la Source de sagesse dans la vie d’un autre. Et à travers ce processus, et le processus d’être le monde, vous comblera de toutes les récompenses pour lesquelles vous avez aspiré en vain pendant tant d’années.

Donc, laissez votre action jaillir de votre état d’être. Soyez heureux, soyez abondant, soyez sage, soyez créatif, soyez compréhensif, soyez un leader, soyez qui vous êtes vraiment à chaque instant de votre vie. Agissez depuis cette croyance, et laissez vos actions jaillir depuis cette croyance. Lorsque vous imaginez être la Source de ce que vous souhaitez recevoir, vous devenez plein de ressources. À ce moment, vous devenez un magicien. Vous devenez un magicien lorsqu’on parle de la loi de l’attraction, on répète souvent qu’il est primordial de faire les choses que nous aimons, et c’est vrai, cela permet de maintenir un taux vibratoire élevé et d’attirer à nous ce que nous voulons. Mais cette idée pourrait mener beaucoup de gens sur le mauvais chemin. Parce que j’aime manger des chips et des bonbons, j’aime glander sur mon canapé jusqu’à pas d’heure, j’aime faire tout ce que je veux, quand je veux, et comme je veux. Mais si je fais ça, il y a peu de chance pour qu’au final, j’aime ma vie.

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Écoutez bien ce qui va suivre. Tous les plaisirs à court terme ne viennent pas d’une réelle appréciation de votre part, mais de la volonté de fuir différents sentiments désagréables. Et personne n’aime le sentiment de fuite. Par contre, absolument tout le monde adore le sentiment d’être fier de soi. Par exemple, je n’aime pas courir, mais je m’aime plus après l’avoir fait. Je n’aime pas l’inconfort, mais j’adore être capable d’y faire face. Au final, c’est un paradoxe, mais je pense que réussir à faire ce que j’ai le moins envie de faire est la chose que j’aime le plus faire.

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