Wokisme : la fin d’une ère ? Disney, Oscars, Trump… ils changent de cap !
Le vent tourne pour le mouvement woke : Hollywood, les grandes entreprises et les politiques semblent faire marche arrière sur leurs engagements.
Depuis plusieurs années, le wokisme a dominé les sphères culturelles, médiatiques et politiques. Cependant, les réactions récentes de grandes institutions montrent un changement de cap radical. Que ce soit dans l’industrie cinématographique, les récompenses culturelles ou même la politique, une remise en question s’opère.
Un échec au box-office : le cas « Toute pour une »
Le film « Toute pour une », une relecture féministe des Trois Mousquetaires, a connu un véritable naufrage au box-office. Avec seulement 9407 entrées en 5 jours, l’œuvre a été un échec critique et public. Pourquoi un tel rejet ? Plusieurs raisons peuvent être avancées :
- Une réécriture forcée d’un classique sans respect pour l’œuvre originale.
- Un discours perçu comme moralisateur et déconnecté des attentes du public.
- Un financement public élevé (10 millions d’euros) pour un film qui n’a pas suscité d’intérêt.
Hollywood et les Oscars : une fin de la diversité forcée ?
Depuis quelques années, les Oscars et d’autres cérémonies ont adopté des critères stricts de représentation. Toutefois, cette approche semble atteindre ses limites. Les résultats mitigés des productions « woke » ont poussé certains studios à revoir leur stratégie. Disney, autrefois fer de lance de la cause, semble lui aussi ralentir sur cette voie.
Le retour de Trump : un symbole de ce changement
Donald Trump, grand opposant au mouvement woke, voit sa popularité remonter, et ce phénomène n’est pas anodin. De plus en plus de citoyens, fatigués d’un discours omniprésent sur les questions identitaires, semblent préférer un retour à des sujets plus concrets comme l’économie et la sécurité.
Un basculement culturel inévitable ?
Si les dernières années ont été marquées par une volonté d’imposer une culture progressiste, la réaction du public montre que l’imposition ne fonctionne pas. L’échec de certains films et la baisse d’audience de nombreux événements télévisés marquent peut-être la fin d’un cycle.
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Conclusion : un rééquilibrage nécessaire
Loin de signifier la disparition du progressisme, cette réaction pourrait être une opportunité pour un débat plus sain et nuancé. Plutôt qu’une opposition frontale, il est peut-être temps de repenser la manière dont ces sujets sont abordés dans les médias et la culture populaire.
